Hansi Flick évoque son moment préféré de la saison … et tacle le Real Madrid !

Fraîchement champion d’Espagne avec le Barça, Hansi Flick n’a pas résisté à l’envie d’évoquer le Real Madrid lors de la conférence de presse qui a suivi le sacre. Pour lui, ses moments préférés de la saison ont été « les quatre Clásicos contre le Real Madrid ».

Arrivé en mai 2024 dans un contexte de grande attente, Flick avait pour mission de relancer un Barça en quête de repères et de trophées. Il a su tirer profit de l’alchimie entre jeunes et vétérans. Très vite, son empreinte s’est traduite sur le terrain : un jeu structuré, une équipe soudée et des résultats constants.

« Je suis très heureux du parcours de mes joueurs, surtout après la trêve. Nous n’avons perdu aucun match, c’est incroyable », s’est-il félicité.

Au cœur de ce succès, l’Allemand insiste sur l’importance du mental et de la cohésion : « On a créé une vraie famille. Ce lien entre joueurs, staff et supporters est unique et c’est ce qui a fait la différence », explique-t-il.

Mais au-delà des chiffres et des trophées, c’est bien la domination face au Real Madrid qui reste gravée dans les mémoires. Quatre confrontations, quatre victoires nettes pour le Barça dans toutes les compétitions nationales. Un carton plein que Flick savoure particulièrement : «Mon moment préféré de la saison: Les matchs contre le Real Madrid», a-t-il lâché, avec un sourire qui en disait long.

Le technicien n’oublie pas pour autant les obstacles traversés : blessures, polémiques sur le poste de gardien, et la perte tragique du docteur Miñarro, figure respectée du staff médical.

Malgré ces trois titres – Champion d’Espagne, Coupe du Roi et Supercoupe – Flick croit que son équipe peut faire mieux : « Je dis à mes joueurs qu’ils doivent s’améliorer chaque jour et avoir soif de progresser. »

Par ailleurs, il a aussi fait preuve de classe en ne laissant pas ses joueurs célébrer le titre sur le terrain de l’Espanyol de Barcelone par respect pour le club rival : « Nous savions que nous ne pourrions pas célébrer sur le terrain. Nous savons ce qui s’est passé il y a deux ans. Dans les vestiaires, la célébration était magnifique. »

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